Une nouvelle enquête belge est sortie : une majorité considère que la répartition des tâches ménagères n'est plus un problème mais qu’en revanche l'égalité n'est pas encore une réalité ! #ShareTheLoad
A l’occasion de la journée internationale de la famille, DASH révèle les résultats d’une étude IPSOS auprès des Belges concernant la répartition des tâches au sein du foyer. Le sondage révèle que 3 Belges sur 5 trouvent que les inégalités homme/femme en matière de répartition des tâches ne constituent plus un problème. Pourtant, à en croire les répondants, l’égalité est encore loin d’être une réalité ! Les hommes en font certes plus, mais les femmes prennent toujours beaucoup à leur charge. Si la révolution n’a pas eu lieu, est-elle en marche pour demain ? Les chiffres indiquent que les moins de 35 ans montrent le bon exemple….
Une évolution lente, mais réelle car les couples semblent trouver un équilibre nouveau, toujours inégal mais mieux accepté
Si 84% des Belges ont malgré tout le sentiment que la répartition des tâches entre hommes et femmes s’est améliorée au cours des dernières décennies. Cette évolution lente peut s’expliquer par trois facteurs clés :
- L’investissement professionnel croissant des femmes (86%)
- Les parents veulent montrer le bon exemple pour leurs enfants (79%)
- L’investissement grandissant des hommes au sein du foyer (77%)
Il semblerait qu’une « inégalité raisonnable et intégrée » par les deux membres du couple se soit aujourd’hui instaurée, la répartition des tâches ne semble pas être un enjeu majeur pour les personnes interrogées. Les hommes prennent part à de plus en plus de tâches. 32% déclarent ainsi faire les courses, 25 % passent l’aspirateur et 27% font la vaisselle plus souvent que leur partenaire. Les femmes ont tendance à estimer ces pourcentages un peu plus bas, mais sans modifier cette tendance à une plus grande prise de responsabilités.
Par rapport à la génération de leurs parents, une grande majorité des Belges perçoivent aujourd'hui que la répartition est plus équilibrée (91%), même si la majorité (56%) indique qu’il s’agit d’une légère amélioration en non d’une révolution.
Les tâches ménagères ne sont pas seulement une corvée mais elles sont étonnamment aussi une source de satisfaction
Si les tâches ménagères sont considérées par une majorité des Belges comme une habitude (79%), c’est aussi une courvée pour 6 Belges sur 10 (63%). Mais aujourd’hui, les tâches ménagères et domestiques sont aussi ressenties par une majorité des Belges comme une source de satisfaction personnelle : sentiment du devoir accompli (83%), image positive de soi-même (69%).
Si la satisfaction du devoir accompli est partagée par les hommes et les femmes, l’image positive de soi-même est davantage exprimé par les hommes (71%). Le fait que ce soit « son rôle » vie plus fort auprès des hommes (63%) qu’auprès des femmes (44%.)
Les Belges en général éprouvent des sentiments plus positifs (88%) que négatifs (72%) à l'égard des tâches ménagères. Les sentiments négatifs sont davantage liés à la fatigue qu'à la frustration envers le partenaire. Les femmes vivent, plus que les hommes, les tâches ménagères comme une corvée ou ne se sentent pas bien si elles ne le font pas.
En 2019, il semble plus facile de déléguer « les yeux fermés » la garde de son enfant que faire son linge ou ses courses !
Dans les faits, certaines tâches comme le linge et le bricolage symbolisent encore très clairement une inégale répartition au sein des couples belges en 2019 : trier le linge et lancer une lessive : 19% des hommes et 81% des femmes, repasser : 14% des hommes et 75% des femmes, laver les sanitaires : 18% des hommes et 72% des femmes, bricoler : 71% des hommes et 21% des femmes, sortir les poubelles : 65% des hommes et 29% des femmes.
Enfin, si globalement la majorité des couples interrogés déclarent qu’ils laisseraient faire les yeux fermés leur conjoint, s’ils étaient forcés de déléguer, certaines tâches sont plus difficiles à déléguer aveuglément que d’autres et notamment pour les femmes. La capacité à laisser faire le conjoint mais en jetant un coup d’œil derrière pour être sûr que ce soit bien fait est nettement plus importante concernant par exemple trier le linge et lancer une lessive que pour s’occuper des enfants et notamment chez les femmes :
- 22% concernant trier le linge et lancer une lessive (32% chez les femmes)
- 20% pour faire les courses (23% chez les femmes)
- 21% pour étendre ou sécher le linge (30% chez les femmes)
- 18% pour repasser (23% chez les femmes)
- Contre 16% pour s’occuper des enfants (21% chez les femmes)
Un investissement indéniable : Des hommes plus actifs et engagés, notamment pour transmettre un nouveau modèle à leurs enfants
Presque toutes les femmes en couple interrogées considèrent qu’un homme qui s’occupe de la lessive est un bon exemple pour ses enfants (89%) et qu’il est de son temps (88%). Cependant, nombreuses sont celles (72%) à laisser entendre que c’est encore rare.
Les hommes se sentent toutefois à l’aise et favorables au fait de donner le bon exemple à leurs enfants en cherchant à transmettre un modèle plus équitable dans la répartition des tâches. 86% Des répondants à l’étude reconnaissent que les hommes s’investissent davantage dans la réalisation des tâches ménagères. Selon 70% d’entre eux, les parents arrivent à transmettre à leurs enfants un meilleur schéma. Les hommes en couple sont d’autant plus attentifs à cette tendance : 79% estiment que les parents souhaitent davantage offrir un modèle à suivre pour les prochaines générations.
L’espoir d’une révolution en marche : les jeunes partageraient les tâches encore plus que leurs parents
Les moins de 35 le clament – ils sont bien plus enclins à un partage équitable des tâches domestiques que les autres. L’on observe une évolution significative :
- Trier le linge et faire la lessive : 56% des hommes de moins de 35 ans pour 24% des hommes de plus de 35 ans.
- Bricoler : 45% des femmes de moins de 35 ans pour 32% des femmes de plus de 35 ans.
- Cuisiner : 61 % des hommes de moins de 35 ans pour 41% des hommes de plus de 35 ans.
- Sortir la poubelle : 48% des femmes de moins de 35 ans pour 43% des femmes de plus de 35 ans.
A propos de Dash
Dash est entrée dans les maisons belges en 1965. Depuis lors, elle fait partie de la vie quotidienne des familles. Elle écoute leurs besoins en termes de lavage, elle suit l’évolution de leurs garde-robes et de leurs habitudes, ... Et tout ça, afin de pouvoir offrir les meilleures performances de lavage pour linge blanc plus blanc que blanc et des couleurs éclatantes. Dash a évolué avec les changements des familles et garantit depuis plus que 50 ans. Le blanc est plus blanc que blanc et que les couleurs sont éclatantes. C’est l’histoire d’une marque populaire et bien-aimée, laquelle fait partie de la vie quotidienne des familles belges depuis 50 ans.